Un langage plus sûr
Si vous n'avez jamais abordé le sujet de la santé mentale ou de son enseignement en classe, ces ressources vous aideront à vous familiariser et à vous préparer à parler de la santé mentale avec les élèves dans un cadre éducatif.
Dans cette unité de 6 leçons, vos élèves apprendront à reconnaître les signes de difficultés de santé mentale, à soutenir les autres en appliquant les 5 règles d’or d’Être là et à se soutenir grâce à l’autosoin et à la conscience de soi.
Les élèves apprendront la différence entre un problème de santé mentale et une crise, comment entamer une conversation avec une personne qui vit des problèmes de santé mentale et que faire si quelqu'un est en crise.
Les élèves apprendront à instaurer la confiance et à trouver des moyens pratiques d'aider quelqu'un dans sa vie de tous les jours.
Les élèves apprendront comment être à l’écoute et comment équilibrer la conversation.
Cette leçon aide vos élèves à comprendre ce qu’est leur rôle - et ce qu'il n'est pas - lorsqu'ils.elles soutiennent quelqu'un et comment fixer des limites pour protéger leurs relations et leur propre santé mentale.
Les élèves apprendront à accéder aux ressources professionnelles et communautaires et à quoi s'attendre d'elles.
Dans cette leçon, vos élèves apprendront à reconnaître leurs limites et à prendre soin de leur propre santé mentale.
Cette activité est axée sur l’importance de prendre des nouvelles de ses ami.e.s, en particulier de ceux.celles qui sont « fort.e.s ».
Si vous n'avez jamais abordé le sujet de la santé mentale ou de son enseignement en classe, ces ressources vous aideront à vous familiariser et à vous préparer à parler de la santé mentale avec les élèves dans un cadre éducatif.
Si vous n'avez jamais abordé le sujet de la santé mentale ou de son enseignement en classe, ces ressources vous aideront à vous familiariser et à vous préparer à parler de la santé mentale avec les élèves dans un cadre éducatif.
Chez Jack.org, nous tenons à rester fidèles à notre mission et à nos valeurs lorsque nous travaillons avec les jeunes et les intervenant.e.s. Quand il est question d’enseigner la promotion de la santé mentale, il est essentiel de prioriser un langage précis, inclusif et non stigmatisant.
Chez Jack.org, nous tenons à rester fidèles à notre mission et à nos valeurs lorsque nous travaillons avec les jeunes et les intervenant.e.s. Quand il est question d’enseigner la promotion de la santé mentale, il est essentiel de prioriser un langage précis, inclusif et non stigmatisant.
L’utilisation d’un langage centré sur la personne est souvent préférable lorsqu’il s’agit d’écrire du contenu traitant de troubles mentaux. Cependant, cela n’est pas toujours le cas. Avant de commencer à écrire, vérifiez si vous devez utiliser un langage centré sur la personne ou sur l’identité.
L’utilisation d’un langage centré sur la personne est souvent préférable lorsqu’il s’agit d’écrire du contenu traitant de troubles mentaux. Cependant, cela n’est pas toujours le cas. Avant de commencer à écrire, vérifiez si vous devez utiliser un langage centré sur la personne ou sur l’identité.
Le langage centré sur la personne fait passer la personne avant le diagnostic en définissant le problème de santé qu’a une personne plutôt qu’en affirmant que ce problème définit cette personne. L’emphase est mise sur l’individu et moins sur la maladie, le handicap ou le problème de santé.
Par exemple, une personne atteinte de schizophrénie au lieu d’un.e schizophrène.
Le langage centré sur la personne fait passer la personne avant le diagnostic en définissant le problème de santé qu’a une personne plutôt qu’en affirmant que ce problème définit cette personne. L’emphase est mise sur l’individu et moins sur la maladie, le handicap ou le problème de santé.
Par exemple, une personne atteinte de schizophrénie au lieu d’un.e schizophrène.
Le langage centré sur l’identité est ancré dans la relation entre l’identité personnelle et culturelle, et le handicap. Les personnes et les groupes qui l’utilisent mettent l’accent sur leurs capacités uniques plutôt que sur leur handicap.
Par exemple, une personne sourde au lieu de quelqu’un qui n’entend pas.
Le langage centré sur l’identité est ancré dans la relation entre l’identité personnelle et culturelle, et le handicap. Les personnes et les groupes qui l’utilisent mettent l’accent sur leurs capacités uniques plutôt que sur leur handicap.
Par exemple, une personne sourde au lieu de quelqu’un qui n’entend pas.
Lorsque l’on interroge quelqu’un sur ses pronoms, il est essentiel d’aborder le sujet de manière respectueuse et sécuritaire. La première étape consiste à créer un climat de confiance dans lequel la personne se sent à l’aise de parler de ses pronoms. Cela peut se faire en parlant de vos propres pronoms, en les utilisant pour vous présenter ou en demandant simplement à la personne si elle se sent à l’aise de vous dire les siens.
Il est important d’éviter de rendre obligatoire la divulgation des pronoms. Il ne faut jamais forcer quelqu’un à vous faire part de ses pronoms, surtout si cela peut mener à une situation dangereuse. Pensons, par exemple, à une personne qui dévoilerait ses pronoms à un groupe de personnes présentant un risque pour sa sécurité.
Lorsque l’on interroge quelqu’un sur ses pronoms, il est essentiel d’aborder le sujet de manière respectueuse et sécuritaire. La première étape consiste à créer un climat de confiance dans lequel la personne se sent à l’aise de parler de ses pronoms. Cela peut se faire en parlant de vos propres pronoms, en les utilisant pour vous présenter ou en demandant simplement à la personne si elle se sent à l’aise de vous dire les siens.
Il est important d’éviter de rendre obligatoire la divulgation des pronoms. Il ne faut jamais forcer quelqu’un à vous faire part de ses pronoms, surtout si cela peut mener à une situation dangereuse. Pensons, par exemple, à une personne qui dévoilerait ses pronoms à un groupe de personnes présentant un risque pour sa sécurité.
Pour que chacun.e se sente respecté.e, il est important de reconnaître que les pronoms d’une personne peuvent ne pas correspondre à l’identité de genre perçue. Il est essentiel de respecter les choix de pronoms d’une personne et de les utiliser correctement, même s’ils ne correspondent pas au système binaire traditionnel de genre où les pronoms comme « il » ou « elle » sont utilisés.
Conseil : L’utilisation de pronoms neutres comme « iel » ou « ellui » peut demander un certain temps d’adaptation. Cependant, le fait de désigner les personnes par leurs bons pronoms, même lorsqu’elles ne sont pas présentes, peut vous aider à prendre cette habitude et à éviter de faire des erreurs.
Pour que chacun.e se sente respecté.e, il est important de reconnaître que les pronoms d’une personne peuvent ne pas correspondre à l’identité de genre perçue. Il est essentiel de respecter les choix de pronoms d’une personne et de les utiliser correctement, même s’ils ne correspondent pas au système binaire traditionnel de genre où les pronoms comme « il » ou « elle » sont utilisés.
Conseil : L’utilisation de pronoms neutres comme « iel » ou « ellui » peut demander un certain temps d’adaptation. Cependant, le fait de désigner les personnes par leurs bons pronoms, même lorsqu’elles ne sont pas présentes, peut vous aider à prendre cette habitude et à éviter de faire des erreurs.
Lorsqu’il est question de pronoms, des erreurs peuvent parfois être commises. Si vous utilisez le mauvais pronom, il est important de vous excuser et de vous reprendre. Ensuite, passez à autre chose. Évitez de faire tout un plat ou d’attirer l’attention sur l’identité de genre de la personne d’une manière qui pourrait la mettre mal à l’aise ou l’embarrasser.
Lorsqu’il est question de pronoms, des erreurs peuvent parfois être commises. Si vous utilisez le mauvais pronom, il est important de vous excuser et de vous reprendre. Ensuite, passez à autre chose. Évitez de faire tout un plat ou d’attirer l’attention sur l’identité de genre de la personne d’une manière qui pourrait la mettre mal à l’aise ou l’embarrasser.
De nombreux termes stigmatisants sont normalisés dans notre vocabulaire quotidien, en particulier lorsqu’il s’agit des troubles mentaux.
Afin de n’utiliser aucun langage stigmatisant lorsque vous écrivez, pensez à consulter le guide de référence de la Commission de la santé mentale du Canada et les ressources ci-dessous. Vous pourrez ainsi déterminer si le langage que vous utilisez est respectueux ou non :
De nombreux termes stigmatisants sont normalisés dans notre vocabulaire quotidien, en particulier lorsqu’il s’agit des troubles mentaux.
Afin de n’utiliser aucun langage stigmatisant lorsque vous écrivez, pensez à consulter le guide de référence de la Commission de la santé mentale du Canada et les ressources ci-dessous. Vous pourrez ainsi déterminer si le langage que vous utilisez est respectueux ou non :
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Ce site n’est pas destiné à la divulgation personnelle de problèmes de santé mentale, de pensées ou de comportements suicidaires. Si vous êtes en crise, appelez une ligne d’assistance téléphonique, le 911 ou les services d’urgence, ou rendez-vous à l’urgence la plus proche.
Si les pensées ou les comportements d’une personne menacent sa sécurité ou celle d’autrui, il s’agit d’une crise de santé mentale. Appelez une ligne d’assistance téléphonique, le 911 ou les services d’urgence. Si une personne s’est récemment fait du mal, mais qu’elle n’est plus en danger, suivez les règles d’or d’Être là et orientez-la vers les ressources disponibles dans sa région.
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